J’appelle « miroir » cette diposition car on a l’illusion que le haut se mire en bas comme dans un plan d’eau.
Pour les bases du cylindre, j’ai gardé la moitié « plafond » (avec un oeilleton inversé), et le « plancher » entier. Pour la paroi cylindrique j’ai enlevé la moitié avant, et fait découper la moitié arrière pour ne garder que le support du tracé, ainsi que des bandes verticales de soutènement.
Pour passer d’un semestre à l’autre, on enlève les supports (plastifiés sur les 2 faces) des tracés et on les refixe en position inversée .