Première réalisation avec les 2 semestres présents mais séparés ; les lignes horaires de chacun sont en demi-huit, pour l’un lignes en S, pour l’autre lignes en S inversé.
A partir de ce modèle, la « pointe » est désormais un oeilleton positionné sur une tige (filetée) à une distance du plan du tracé égale à celle de l’arête perpendiculaire à ce plan (le plan du mur en somme), qui existe toujours sur les pointes adoptées jusqu’alors, ayant la forme d’une pyramide ayant aussi une arête parallèle à la ligne des pôles (arête polaire). Maintenant je renonce à cette arête polaire, qui n’a sa raison d’être que dans les cadrans solaires classiques car son ombre sert alors d’aiguille de lecture en se superposant à chaque ligne droite indiquant une heure entière (solaire).
Dans le cas de mes soleilheurs, c’est toujours l’extrémité de cette arête qui donne l’heure légale et la date, que cette extrêmité soit prise sur l’arête polaire ou sur l’arête perpendiculaire au mur ; cette dernière étant beaucoup plus simple à positionner dans le mur, je l’utilise exclusivement.
Je tiens compte de la distance à la ligne d’horizon (toujours apparente sur mes tracés), du trou de fixation de la tige filetée, pour que le centre de l’oeilleton soit au niveau de cette ligne d’horizon.
Remarque :
Pour une lecture très confortable, sans réfléchir, on suprime l’oeilleton du semestre inutilisé : c’est le cas sur cette photo. Il y a la contrainte de déplacer l’oeilleton 2 fois par an, aux solstices.
Pour se décharger de cette contrainte et ne jamais intervenir sur le panneau, il faut laisser les 2 oeilletons en place et réfléchir pour choisir le semestre à utiliser.